Le Solar Impulse a traversé la Suisse la France, le Luxembourg et la Belgique sans essence, bruit ou pollution à une vitesse moyenne de 50km/h et une altitude de 1828m pendant 630km soit 340 miles nautiques, le HB-SIA a du faire face aux conditions météo et au trafic intense lors du décollage et surtout de l’atterrissage.
A noter que des ascendances thermiques ont également menacé le bon déroulement de l’atterrissage, initialement prévu à 21h à l’aéroport de Zaventem, il a été décalé de 30min pour des raisons de sécurité.
Le Solar Impulse a fait ce vol comme une étape préparatoire en vue du Salon du Bourget et afin de promouvoir la Green Week de l’union européenne du 23 au 29 Mai 2011
"L’atterrissage implique de poster une demi-douzaines de personnes le long de la piste, qui vont courir à côté de l’avion et attraper son aile gauche afin d’éviter qu’il ne se couche (il n’a que deux roues, une à l’avant et une à l’arrière). Par ailleurs, deux cyclistes (sur vélos électriques, bien sur…) se chargeront d’agripper l’aile droite au cas où l’avion se pose trop tôt ou tard…"
"Tout s’est passé comme prévu, c’était fantastique. Les batteries sont pleines, si elles avaient eu une plus grande capacité, j’aurais pu distribuer de l’électricité au réseau après l’atterrissage… C’est le message le plus fort de ce vol, au-delà du fait de rallier une grande capitale européenne." André Borschberg
A noter que des ascendances thermiques ont également menacé le bon déroulement de l’atterrissage, initialement prévu à 21h à l’aéroport de Zaventem, il a été décalé de 30min pour des raisons de sécurité.
Le Solar Impulse a fait ce vol comme une étape préparatoire en vue du Salon du Bourget et afin de promouvoir la Green Week de l’union européenne du 23 au 29 Mai 2011
"L’atterrissage implique de poster une demi-douzaines de personnes le long de la piste, qui vont courir à côté de l’avion et attraper son aile gauche afin d’éviter qu’il ne se couche (il n’a que deux roues, une à l’avant et une à l’arrière). Par ailleurs, deux cyclistes (sur vélos électriques, bien sur…) se chargeront d’agripper l’aile droite au cas où l’avion se pose trop tôt ou tard…"
"Tout s’est passé comme prévu, c’était fantastique. Les batteries sont pleines, si elles avaient eu une plus grande capacité, j’aurais pu distribuer de l’électricité au réseau après l’atterrissage… C’est le message le plus fort de ce vol, au-delà du fait de rallier une grande capitale européenne." André Borschberg
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